Je récupère actuellement le nom des polices utilisées sur mes ordinateurs. Mais voilà : j'en possède plusieurs, certains d'entre eux ont plusieurs utilisateurs, et certains de ces utilisateurs ont malicieusement installé des polices dans leur répertoire personnel. Y a-t-il une commande qui permette de récupérer dans le corps du texte le nom de machine, voire le nom d'utilisateur ? Cela me permettrait d'afficher ceux-ci en pied de page, en plus de la date (commande |
1. Si tu regardes dans Ouvrir dans l'éditeur
\documentclass{letter} \usepackage{catchfile} \CatchFileDef{\hostname}{/etc/hostname}{} \begin{document} Salut \hostname ! \end{document} Cette solution ne fonctionne pas pour récupérer le nom d'utilisateur. Dans ce cas il faut créer sur chaque machine et potentiellement chaque répertoire HOME un fichier 2. Une autre solution pour les utilisateurs de Ouvrir dans l'éditeur
toto.pdf: toto.tex pdflatex $< par Ouvrir dans l'éditeur
toto.pdf: toto.tex pdflatex "\def\hostname{$(HOSTNAME)}\def\username{$(USER)}\input{$<}" Ce qui définit les tokens Publiée 16 Oct '15, 11:48 Tom-Tom Tiens, c'est amusant : on récupère un nom de machine en ouvrant le premier code sur Overleaf.
(16 Oct '15, 11:55)
Tom-Tom
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Le postulat de base d'un bon document (La)TeX est qu'on doit pouvoir le recompiler et obtenir le même document à chaque fois (quelles que soient la plateforme et la distribution utilisées). La commande
\today
(ou même\jobname
à la limite) ne respecte pas ce postulat. Les commandes que vous demandez ici le respecteraient encore moins...Certes. Mais le fait que
lualatex
permette à un utilisateur très avisé d'afficher ce qu'il y a dans/etc
m'a fait imaginer de récupérer le nom de machine.@Pathe Cette « fonctionnalité » de
luatex
peut-être considérée comme un gros trou de sécurité ! D'autant que l'écriture de n'importe quel fichier est aussi possible (avec les droits de l'utilisateur qui compile le document).Je veux bien que le postulat de base d'un bon document (La)TeX est qu'on doit pouvoir le recompiler et obtenir le même document à chaque fois (quelles que soient la plateforme et la distribution utilisées). Mais ce postulat restreint les possibilités du logiciel. Rien n'empêche d'examiner d'autres de ses possibilités, tant que l'on est conscient d'élaborer des documents ne respectant pas ce premier postulat.