Pour ma part, je trouve que c'est qu'il est souvent plus pratique, en particulier au voisinage d'une liste, d'utiliser le jeu de macros plain TeX `insbox` qui définit les commandes `\InsertBoxL` et `\InsertBoxR`, ainsi que `\InsertBoxC`, qui termine la ligne courante avant insertion, puis continue après l'insertion. Celles-ci prennent deux arguments obligatoires : obligatoires : le nombre de lignes laissées intactes avant insertion, et l'objet inséré (pas un flottant). En outre on peut utiliser en argument facultatif le nombre de lignes supplémentaires à raccourcir, au cas que TeX ait mal calculé le nombre de lignes nécessaires à l'insertion.
Voici une petite démonstration :
\documentclass[a4paper,12pt]{article}
\usepackage[utf8x]{inputenc}
\usepackage[LGR, T1]{fontenc}
\usepackage{geometry}
\usepackage{graphicx}
\usepackage[greek,french]{babel}
\input{insbox}
\begin{document}
\section{Éléments d'Euclide}
\subsection{Biographie d'Euclide}
\InsertBoxR{0}{\quad\includegraphics[width=0.25\textwidth]{euclide.jpeg}\quad} %
On ne sait à peu près rien de la vie d'Euclide (de son vrai nom, \foreignlanguage{greek}{Εὐκλείδης}). Il est possible qu'il ait été actif à Alexandrie vers 300 av. J.-C, sous les Ptolémées. Il n'a pas inventé le terme d'\emph{algorithme}, bien que celui-ci puisse passer pour d'origine grecque, ni terminé ses démonstrations par \textsc{c.q.f.d}, ni même \textsc{q.e.d.}
Ci-contre, nous avons néanmoins un très beau portrait (reconstitué \emph{post-mortem}) peint par Max Ernst en 1945, sans doute pour se faire pardonner d'avoir peint trois ans auparavant le \emph{Jeune homme intrigué par le vol d'une mouche non euclidienne}:
\InsertBoxC{\includegraphics{mouchenon-euclidienne}}
\end{document}
<img src="/upfiles/paragrapheetimagecoteacote.png" style="width: 99%;"/>