`extsize` répond à la question — et est conseillé dans le manuel de beamer.
Je signale néanmoins une alternative basée sur le 12pt : l’appel d’une police large.
DejaVu Sans Condensed 12pt fait très bien l’affaire dans mes présentations.
Avec XeLaTeX ou LuaLaTeX :
\documentclass[12pt,noamsmath]{beamer}
\usepackage{fontspec}
\setmainfont{DejaVu Serif Condensed}
\setsansfont[ItalicFont=DejaVu Sans Condensed Oblique,
BoldFont=DejaVu Sans Condensed Bold]{DejaVu Sans Condensed}
Serif}
\setsansfont{DejaVu Sans}
\setmonofont{DejaVu Sans Mono}
\begin{document}
\begin{frame}
Hello, World ! %en anglais pour ne pas trancher entre babel et polyglossia
\end{frame}
\end{document}
C’est une police sensiblement plus large que la moyenne, car lorsque je charge la variante mono avec d’autres familles, comme libertine, je dois réduire la taille avec l’option `Scale=0.8`
Si ce n’est toujours pas suffisant, il reste aussi cette option `scale` du paquet `fontspec` :
\setsansfont[ItalicFont=DejaVu \setsansfont[Scale=1.2]{DejaVu Sans}
EDIT : j’ai lu dans [ce post](https://www.ccd.edu.au/news/articles/2016/dyslexie/index.html) que le plus important, avec l’élimination des empattements, était d’avoir des espaces un peu plus larges entre les lettres et entre les mots que les réglages par défaut. Mon exemple avec la version Condensed de DejaVu n’était donc pas le plus heureux et je l’ai remplacé par DejaVu Sans Condensed Oblique,
BoldFont=DejaVu Sans Condensed Bold,
Scale=1.2]{DejaVu Sans Condensed}
qui répond mieux aux besoins des dyslexiques.