Voici un exemple très sommaire :
\documentclass[12 pt, japanese, french]{article}
\usepackage{fontspec}
\usepackage{luatexja}
\usepackage{luatexja-fontspec}
\usepackage{babel}
% --- Fonte principale (texte latin) ---
\setmainfont{Noto Serif}
% --- Fonte japonaise ---
\setmainjfont{Noto Serif CJK JP}
\usepackage{microtype} % pour la qualité du gris typographique
\begin{document}
\section*{Exemple : français et japonais avec LuaLaTeX}
Voici un texte en français composé avec \textbf{Noto Serif}.
Et voici du japonais : こんにちは、世界! (Bonjour, monde !)
\end{document}
Les fontes Noto, qui ont été décrites par leur créateur, Steve Matteson, dont l'article a été dans le numéro 50 de la [Lettre GUTenberg #50](https://publications.gutenberg-asso.fr/lettre/article/view/126), *[Lettre GUTenberg](https://publications.gutenberg-asso.fr/lettre/article/view/126)*, visent à couvrir l'intégralité des systèmes d'écriture. Elles proposent environ 80000 caractères à l'heure actuelle.
Notons que d'autres projets poursuivent le même but, à commencer par [Adapter](https://rosettatype.com/AdapterPE), de Rosetta Type.